vendredi 5 juin 2015

DU
COMITÉ FRANÇAIS D'HISTOIRE DE LA GÉOLOGIE
- Troisième série -
T.IX (1995)
Pierre F. BUROLLET
L'exploration de la Tunisie avant la première guerre mondiale

COMITÉ FRANÇAIS D'HISTOIRE DE LA GÉOLOGIE (COFRHIGEO) (séance du 21 juin 1995)
(séance du 10 janvier 1996) (Séance initialement convoquée le 29 novembre 1995).
A - Avant le Traité du Bardo : Des origines à 1881.
Nous passerons sur les explorations géographiques de l'Antiquité : Hérodote, Ptolémée, etc. Même si la géologie n'était pas encore une science définie, les Romains ont excellé dans l'exploitation des mines, comme au Jebel Ressas, dans l'hydraulique de surface et dans le choix des carrières.
Plus tard, les auteurs arabes ont donné de bonnes descriptions du pays : Ibn Khaldoun, El Edrisi, etc. Deux auteurs du IXème siècle (Illème siècle de l'Hégire) méritent une citation particulière car ils évoquent des mines : El Ya'Kubi qui cite les mines de Majjana près de la frontière algéro-tunisienne (in : Les Pays, trad. G. Wiet, Le Caire 1937 et in G. Marçais 1941 : La Berbérie du IXe siècle d'après El Ya'Goûbi, Rev. africaine, pp. 40 sq.) ; l'autre est El Maliki qui mentionne la concession de mines de l'Ifrigiya à un frère de lait de l'émir Ibrahim (in Contribution à l'histoire de l'Ifrigiya, d'après le Riyad en Nufus d'EI Maliki, Rev. Etudes islamiques, pp. 144 sq. par H. R. Idris, 1935).
Plus près de nous, la première exploration fut le voyage de Peyssonel et Desfontaines en 1725, à travers l'Algérie et la Tunisie. Dans les lettres manuscrites de Peyssonel imprimées en 1838, ces auteurs mentionnaient les roches utiles (carrières et minerais) et les variations historiques des lignes de rivages. A la même époque, M. D. Shaw a publié, en 1738 (traduction française en 1743), le récit de son voyage en Berbérie avec des descriptions bien illustrées de fossiles et de minéraux. Il signalait en particulier le curieux polypier cénomanien Aspidiscus cristatus qui fut défini plus tard par Lamarck.
Le Maghreb était l'objet de beaucoup de curiosité et la Tunisie était déjà le pays le plus accueillant. Dans sa Géographie ancienne des Etats barbaresques dont la traduction française parut en 1842, l'Allemand Mannert décrivait le Golfe de Gabès et l'assimilait au Lac Triton des anciens. S. E. Hebenstreit publia en 1830 les résultats de son voyage à Alger, Tunis et Tripoli, entrepris pour le compte du roi de Pologne Frédéric Auguste.

Fig. 1 - Schéma de la localisation des principaux lieux cités.
Des géographes britanniques ont donné des récits d'exploration, tels Sir Granville Temple en 1835 : Excursions in the Mediterranean, Algeria and Tunisia. Spratt a rendu compte en 1846 d'un voyage aux lacs de Bizerte effectué l'année précédente.
Consul de France à Sousse de 1843 à 1848, Edmond Pellissier a publié en 1853 une Description de la Régence de Tunis où la géographie physique tient une part notable. Charles Tissot, diplomate féru d'archéologie et de géographie, en poste à Tunis dans les années 50 et 60 a visité et décrit les chotts en 1853 et 1857. V. Guérin a publié chez Plon en 1862 un Voyage archéologique dans la Régence de Tunis. Il suggéra l'équipement possible du port et de la rade de Bizerte. De 1857 à 1864, le Docteur J-L. Guyon, chirurgien militaire, a étudié et décrit les sources thermo-minérales de Tunisie. Au cours d'un voyage de Philippeville à Mourzouk via Tunis et Tripoli, Adolf Overweg a mentionné pour la première fois les couches à strombes du Sahel tunisien. Leseure et F. S. Vatonne ont effleuré le Sud tunisien au cours d'une reconnaissance de Tripoli à Ghadames puis de là à El Oued, en Algérie (1864-65).
En 1868, J. R. Bourguignat a publié à Paris une Histoire malacologique de la Régence de Tunis. Notons enfin la croisière océanographique du Narval, dirigée en 1873 par le commandant E. Mouchez, qui a permis à Ch. Velain de décrire certains points du littoral tunisien, la Galite et l'Ile Plane. Le Génois A. Issel effectua ensuite une étude de la Galite en 1877 et raconta la croisière du Crociante. En 1914, après des études en Sardaigne, il devait créer l'étage Tyrrhénien.
Différents explorateurs ont abordé les rivages de la petite Syrte : Edouard Desor, Arnold Escher de la Linth, E. Roudaire : certains des fossiles qu'ils ont ramassés ont été étudiés par R. Tournouër (1878). En 1875 et 76, G. Belluci a parcouru la Tunisie et effectué de riches découvertes d'industrie préhistorique en particulier dans la région d'Oudref et de Metouia. P. de Tchihatchef, naturaliste et géographe, a exploré de nombreux pays dont le Maghreb et a publié en 1880 un ouvrage important Espagne, Algérie, Tunisie avec une carte d'itinéraire. Son récit comporte de nombreuses descriptions géographiques avec des réflexions sur les habitants ; il s'attache surtout à la flore sauvage des sites visités. Il rapporte que les palais de la Mohammedia étaient déjà ruinés. Il cite les travaux du Professeur Guido Stache publiés en Autriche en 1876 avec mention de Rudistes près du Bou Kornine. Tchihatchef signale des calcaires à coraux au Zaghouan mais il ne leur attribue pas d'âge. Il décrit l'envasement de la plaine d'Utique depuis l'Antiquité : à cette occasion, il mentionne les travaux du Docteur Theobald Fisher (Berlin, 1878) sur les variations de niveaux du littoral méditerranéen. Il attribue à un soulèvement tectonique récent la disparition de la communication entre le Chott Fedjedj et le Golfe de Gabès : c'était déjà la discussion au sujet de la mer intérieure d'après les reconnaissances du commandant Roudaire.
Lancé dans le Sud algérien, le mythe de la mer intérieure a fait couler beaucoup d'encre et de salive. F. de Lesseps appuyait le projet, soutenu par E. Roudaire et par A. Delaire, d'inonder les dépressions en ouvrant un passage à travers le seuil de Gabès. L'intervention la plus délirante fut celle de P. T. Virlet d'Aoust en 1874 qui confirme l'existence ancienne de la mer intérieure par les traditions (sic) ; pour l'auteur, le soulèvement des collines tritoniennes, assimilable au système de l'Etna et du Vésuve d'Elie de Beaumont, serait postérieur à l'expédition des Argonautes (in Morin 1972, p. 575). E. Hébert et le Docteur Ernest Cosson ont combattu énergiquement cette idée ; mais nous entrons là dans l'époque suivante.
A la limite des deux époques aussi, le professeur italien G. Perpetua a publié successivement un Compendio della Geografia della Tunisia (1880), traduit en français sous le titre : Géographie de la Tunisie, et une Geografia della Tunisia, plus complète, en 1883. Il donnait des descriptions précises des côtes, du relief, des îles, des chotts et des sebkhas. Il soulignait l'absence de volcan actif mais considérait le Bou Kornine comme un volcan éteint, erreur que l'on retrouvera chez des auteurs plus récents. Il commentait les tremblements de terre : Tunis 1863, Sousse vers 1830 et Gabès en juillet 1881. Il décrivait le marbre de Chemtou et les carrières romaines de pierre pléistocène de la région de Mahdia ; il mentionnait les minerais de fer de Jerissa et du Jebel Ank (ce dernier d'après E. Fuchs) et quelques emplacements plombifères dont le Jebel Ressas. Il citait aussi les sources thermo-minérales dont Korbous, Hammam Lif, Jedidi, etc. ainsi que les belles sources de Gafsa, Nefta, Sbeitla, etc.
L'ingénieur des mines Edmond Fuchs avait exploré la Tunisie à partir de 1873 ; il a cité le Lias moyen au Zaghouan et a signalé la faille majeure qui borde ce massif ; il s'est intéressé ensuite au Sud Tunisien et après une étude sur l'isthme de Gabès a confirmé en 1874 et 1877 les conclusions d'une mission italienne en s'opposant au projet Roudaire de mer intérieure. Cette position fut adoptée aussi par Nicolas-Auguste Pomel, dont l'œuvre en Algérie a été considérable. Il a étudié en détail le littoral de la Petite Syrte et le secteur des chotts en 1877 (publications de 1877 à 1884).
Le géologue et paléontologiste autrichien Guido Stache avait aussi parcouru la Tunisie ; il avait été aussi attiré par la discussion sur la mer intérieure et a signalé le Turonien près de Gabès ; il a décrit la côte et les Iles Kerkennah ; ses publications entre 1875 et 1876 racontent ses voyages, au Ressas, le long du Golfe de Gabès où il commente en particulier les dépôts quaternaires.

dimanche 31 mai 2015

jewelry match 3

Description:
Voyage à travers le monde fascinant des Patoupré dans cette aventure match-3! Associez les pierres précieuses éblouissantes travers 100 niveaux tentaculaires et retourner la terre à son ancienne gloire. Chercher et trouver par le biais de nombreux endroits fantastiques à découvrir de nouveaux sorts et des bonus! Collecter des ressources dans chaque niveau et les utiliser pour planter vos propres jardins magiques, acheter de nouveaux objets, et de reconstruire les 5 châteaux de Patoupré.
Comme vous répondez aux divers Wizards of Patoupré, vous pouvez choisir de les apporter avec vous de gagner leur pouvoir unique dans chaque niveau, comme Chaîne d'éclairs et Chroma Frenzy. Le match-3 jeu nouvelle aventure vous fera voyager partout à la recherche de clés, des potions de mana, pièces de monnaie, et même se téléporter portails pour atteindre les parties cachées de chaque niveau!
Avec une bande son envoûtante beauté, 8 puissante sorts à apprendre, de nouvelles scènes de l'objet masqué, mini-jeux, un magasin d'objets, des châteaux de reconstruction et un casting plein de personnages à rencontrer, vous êtes sûr d'être diverti pendant des jours
caractéristiques de jeu gratuit:. < br> Photos - 100 niveaux de match-3 énormes;
- Faites une pause avec des niveaux d'objets cachés et des mini-jeux;
- Profitez de trois modes de jeu: Timed, Détendu et Match3 Maniac Mode;
- Rassemblez mana pour lancer vos sorts puissants 8;
- Reconstruire 5 châteaux fantastiques;
- Plantez nouveaux jardins pour conjurer le mal;

- Accumulez des pièces pour acheter des articles de la boutique ou de passer sur la Box Gamble;
- Une bande-son envoûtante beauté et de magnifiques visuels
Catégories: Puzzle »Match 3» cerveau »Logic» Brain Teaser »Magic. »Addicting» Fun »Cool

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Cinéma dans les écoles: Demain commence aujourd'hui (Boubacar Mubaraki)

cinéma dans les écoles: Demain commence aujourd'hui

Boubacar Lembarki

publié dans Jour Lever du 28-12 - 2010

  Personne ne doute de l'éloquence de la langue du cinéma et de la domination de l'image dans le discours des médias, mais l'éducation, et il semble que les jeunes d'aujourd'hui vivent sur le charme de cette scène est pas conscient, pour la plupart que de larges secteurs se livrent aujourd'hui dans un tourbillon d'activités pour le contenu du nouveau statut de ce discours sur la photo pour extension de l'aliénation, qui ne sont pas en mesure de comprendre seulement des spécialistes en psychologie de l'éducation ou de la sociologie de la culture.
autre angle peut y accéder à l'objet une approche tente de considérer très positivement à faire face à la culture de l'image dans le domaine de l'éducation qui est la plupart du temps la vision que les paris sur la consolidation de la culture et apprendre utilisation croisée plus scientifique et professionnel de la communication et images par le contenu révolution.
article film comprenant le travail créatif de l'art croise objectivement avec le contenu des programmes d'éducation dans les établissements scolaires (films et de séries ou des films historiques qui ont adopté le travail distinctif ou de documentaire de la fiction), un aussi est techniquement un domaine de spécialisation promettant doit émergents de formation dans les écoles de la constipation Boukaotha et même encourager la production de matériel et le contenu du film peut être un motif pour les propriétaires intérêts des étudiants, par exemple, pour étudier le cinéma à l'université plus tard ... et combien était le passe-temps nécessaire pour les professionnels plus tard dans beaucoup Présentation des cas. L'expérience des clubs de cinéma dans le cadre de l'école, par exemple, a été l'envoi dans les établissements scolaires de la Tunisie depuis les années soixante-dix du siècle dernier a été bloqué et assez proche et il n'y a aucune explication dans ce qui semble seulement la rareté des initiatives du professeur pour encadrer les étudiants dans le domaine de l'Art Film et de la faiblesse des encouragements de la gestion et le manque de coordination entre les ministères compétents culturelles, des médias et des affaires éducatives, si le support est disponible dans le niveau du ministère de la Culture pour les producteurs réalisateurs de d'âge moyen et les personnes âgées est pensé pour soutenir les énergies prometteuses des jeunes au sein de la communauté scolaire et au-delà pour apprendre les techniques de mécanismes Altsoirovhm et un mode de réalisation de certaines idées cinématographiques, même dans une affaire de minutes, comme chacun le sait coût haute production?
étonnant toujours sur la présence des jeunes énergies, mais il semble que le premier est la question de la façon de détecter et de précipiter sa main et les paris à l'avenir le long des lignes de ce qui nous reçoit dans les clubs de football, par exemple, et son rôle important dans le perfectionnement de talents sportifs juniors.
peut-être la célébration de l'Année nationale du cinéma et avec les célébrations Année internationale pour les jeunes défenseurs de penser davantage en termes d'émergence en Tunisie. Dans la profondeur de ce qu'il a besoin de la jeunesse publique et séance d'information spéciale éducatif moyen et l'accompagnement dans le domaine de la créativité, la culture, et peut-être qui est ce que l'on parie par le Festival national du film dans le cadre de l'école, qui se tient cette année à la fin de ce mois sur le manque de potentiel, mais sa confiance grandir au fil des jours dans la réalisation du rêve de cinéma émergent Chaque la grande entreprise a commencé comme un petit idées que «le père de l'enfant l'homme» Peut-être l'attention sur le renforcement des fondations de tout bâtiment élevé que le même soin du bâtiment

samedi 30 mai 2015

          
                  
 système éducatif japonais

Les Japonais pensent que l'éducation est très importante. Le système d'éducation publique a été établi au Japon plus d'un siècle et son existence est plus élevé que dans la plupart des autres pays. Apprentissage a toujours été considéré comme une vertu. Aujourd'hui, 99% des écoliers scolarisés dans une école publique et même à l'école secondaire, seulement 30% sont inscrits dans une école privée.
Chaque enfant japonais doit assister à des cours de six à quinze. Toutefois, de nombreux enfants restent à l'école plus longtemps. Certains entrent à la maternelle dans trois ou quatre ans. Chaque étudiant fréquente l'école primaire de six à douze ans dans un collège à quinze ans. Environ 97% des élèves vont à l'école secondaire de quitter à l'âge de dix-huit ans. Trois quarts de ces étudiants sont inscrits dans les écoles d'enseignement général, tandis que le quart restant prend des cours dans les écoles spécialisées. Environ 25,3% à la fin de diplômés du secondaire entrent au collège, et de nombreuses autres institutions universitaires dans les études techniques ou courtes.
Presque toutes les écoles, les collèges et les universités de sélectionner leurs étudiants en imposant un examen d'entrée. Chaque école a sa propre opinion. Tout étudiant qui souhaitent entrer dans cette école doit passer l'examen à moins qu'il ou elle a suivi des cours à un niveau inférieur à la même école. Les étudiants peuvent poursuivre leurs études dans la même école, du primaire à l'école secondaire à l'université.
Depuis les examens d'entrée sont très difficiles, les étudiants suivent souvent des cours dans une école secondaire (juku ou Yobiko) le week-end et les soirs de semaine, en plus de leurs heures normales de classe. Parfois, les élèves prennent des cours dans un juku avant d'entrer dans l'école élémentaire.
VIE À L'ÉCOLE
L'année scolaire japonaise commence en Avril. Il ya des vacances d'été pendant plusieurs semaines et deux semaines de vacances pour le Nouvel An. L'année scolaire se termine en Mars, et deux semaines de congé avant le début de la nouvelle année.
Les étudiants suivent des cours six jours par semaine, sauf le deuxième et quatrième samedi de chaque mois. L'enseignement peut être à la fois que les techniques modernes comme l'éducation informatique méthodes conventionnelles. Les cours ont lieu de 8h00 à 15 heures ou 15h30 du lundi au vendredi. Si les cours ont lieu le samedi, ils finissent généralement avant midi. Beaucoup d'étudiants suivent des cours dans un juku ou participent à des sports ou autres activités parascolaires de l'école dans l'après-midi.
Les classes peuvent avoir un maximum de 40 élèves dans une école primaire. Par conséquent, des groupes d'étudiants jouent un rôle important dans l'apprentissage et d'autres activités. Groupes de chaque classe, les élèves nettoient les salles de classe, les couloirs, les toilettes, aires de jeux et d'autres endroits.
La propreté est également un aspect important des règles de vêtements. Certaines écoles exigent que les étudiants à porter un uniforme noir avec des boutons en laiton et un collier, mais aujourd'hui, les garçons sont assez uniforme bleu, et des uniformes d'été comprennent souvent des shorts. Uniformes pour les filles sont le plus souvent bleu marine avec des jupes plissées, mais ce style est également en train de changer. Les jeunes étudiants peuvent porter des chapeaux de couleurs vives pour les rendre plus visibles pour les automobilistes. Les uniformes actuels sont plus confortable et attrayant que par le passé, mais il est plus important que jamais pour les étudiants de se vêtir de façon appropriée pour l'école.
Les étudiants qui étudient dans une école publique, allant souvent à une école dans leur propre quartier. Si un élève inscrit dans une école privée, il ou elle n'a pas à rester dans leur quartier. Les étudiants passent beaucoup de temps ensemble, à la fois en classe et dans certaines activités après l'école, telles que des visites de la nature et des excursions sur le terrain l'obtention du diplôme, des sports et des événements sportifs et diverses activités parascolaires.
LEÇONS
Tous les étudiants japonais étudient l'anglais. Ils commencent à apprendre la première année de collège, et la plupart continuent pendant au moins six ans. Bien sûr, les Japonais occupe également une place importante dans leurs études. Pour écrire en japonais nécessite un long apprentissage et nécessite une formation constante. Il ya trois types d'écriture. Les caractères chinois (kanji) ont été importés au Japon au VIe siècle et prises d'écrire en japonais. Ce processus a été difficile parce qu'il y avait beaucoup de différences entre les Chinois et les Japonais. Pour cette raison, deux autres systèmes d'écriture ont été créés. Ils sont appelés hiragana et katakana. Chaque du syllabaire japonais a 46 lettres. Les lettres représentent des sons, semblables en cela à les lettres de l'alphabet romain. Utilisé pour écrire les mots qui ne peuvent être écrites avec kanji.
Le kanji utilisé pour représenter des mots ou des idées. Formes et des idéogrammes les plus caricaturaux ont statué à plusieurs égards. Plus de 2.000 kanji sont couramment utilisés, mais beaucoup d'autres sont utilisés dans la littérature traditionnelle, les noms et la littérature technique. Étudiants japonais devraient être alphabétisés environ 1000 kanji avant de quitter l'école primaire, et se renseigner sur tout autre à la fin du premier cycle du secondaire.
Les matières obligatoires sont collège dans la langue japonaise, les études sociales, mathématiques, sciences, musique, beaux-arts, l'éducation physique et l'économie domestique. Ces sujets peuvent être enseignés à différents moments tout au long de la semaine, il est donc rare que le programme est le même d'un jour à l'autre.